Le port du masque de protection est une atteinte à la vie et un acte suicidaire

Le port du masque de protection est une atteinte à la vie et un acte suicidaire : tous les éléments factuels

L’obligation de port du masque est un acte criminel et un acte suicidaire pour celui qui l’accepte selon les lois de la nature, de la physiologie, de la biologie du corps humain, donc de la science et selon les lois françaises.

Porter un masque est une mise en danger de la vie, de la santé, et de l’immunité.

Les faits sont les suivants :

Porter un masque empêche de respirer librement l’air pur et donc l’oxygène ou plus exactement le dioxygène (deux molécules d’oxygène) dont le corps a besoin pour assurer toutes les fonctions vitales pour être en bonne santé et avoir une bonne immunité. (vidéo de l’INSERM sur le système respiratoire)
Porter un masque empêche de bénéficier des ions négatifs indispensable à notre santé et à notre immunité. La capacité des ions négatifs à éradiquer à 99,9 % tous les virus et bactéries n’est plus à démontrer. Des ions négatifs que l’on trouve en plus grande quantité en extérieur, en pleine nature, et encore plus en bord de mer, en montagne et dans les secteurs forestiers.

Les ions négatifs agissent essentiellement par voies respiratoires, et pourraient également intervenir par voies cutanées. Ils favorisent les échanges entre les cellules, et la pénétration d’oxygène au niveau pulmonaire.

Les ions négatifs ont également la particularité de débarrasser l’atmosphère des bactéries. L’air marin est si pur, par rapport à celui des villes, qu’il y a environ cent fois moins de germes.

Notre organisme absorbe de l’électricité contenue dans l’atmosphère, l’utilise et la rejette par la peau : plus ce métabolisme est actif par l’absorption d’ions négatifs et par l’évacuation de l’électricité excédentaire, plus l’être est « vivant » et donc en bonne santé. Sous l’effet des ions négatifs, on assiste à une modification des constantes respiratoires (augmentation de la pression partielle alvéolaire de l’oxygène et diminution de la pression partielle alvéolaire du gaz carbonique), alors que sous l’action des ions positifs se produit le phénomène inverse. De plus, c’est Ie nez qui, pour les yogis, représente le principal organe d’absorption du prana. L’air est notre principal aliment : nous en respirons environ 13 000 litres chaque jour, autant qu’il soit sain !

En 2013, une équipe italienne a réalisé une intéressante synthèse de l’influence des ions négatifs sur la psychophysiologie humaine, concluant à un effet bénéfique pour le traitement des troubles de l’humeur (réduction des symptômes) ainsi que pour l’amélioration des performances cognitives. « Il existe une variabilité individuelle. Certaines personnes sont plus réceptives que d’autres au manque d’ions négatifs. Elles peuvent avoir divers troubles, par exemple : fatigue, irritabilité, manque de concentration, idées noires, maux de tête, gêne respiratoire, insomnie », affirme le Dr Hervé Robert. (Source)

chez certains d’entre nous qui ont un organisme fragile ou qui sont plus sensibles, les ions négatifs ou le bon équilibre ionique de notre air permettrait de se défendre, d’avoir une action préventive en stimulant et optimisant notre métabolisme.
On parle de bio-stimulation car on se contente de stimuler, de maintenir ou restaurer un équilibre, de relancer des fonctions de l’organisme pour qu’elles réagissent de nouveau au mieux. (Source : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8064146/)

Porter un masque c’est être obligé à respirer son propre gaz carbonique. Il est aujourd’hui indiscutable que le gaz carbonique ou CO2 ou dioxyde de carbone est un gaz mortel à court, moyen ou long terme en fonction de l’état de santé de la personne qui le respire car il va déclencher un processus de dégradation de l’organisme en déclenchant de nombreux effets qui peuvent être fatals comme les vertiges, troubles visuels, convulsion,coma, jusqu’à la mort. Les personnes ayant des problèmes respiratoires, d’asthme, une condition physique médiocre, une immunité faible verront les effets survenir plus rapidement. (Données de l’Institut national de recherche et de sécurité). (Source : Fiches toxicologies Institut national de recherche et de sécurité)
Porter un masque c’est être obligé à respirer son propre gaz carbonique et donc créer un environnement pollué qui va générer des ions positifs soit créer l’effet inverse des ions négatifs explicités ci-dessus.
Porter un masque et être obligé de respirer son propre gaz carbonique pendant au moins 20 minutes c’est techniquement engendrer la création de carboxyhémoglobine soit une hémoglobine censée transporter l’oxygène pour assurer les fonctions vitales, sur laquelle va se fixer le CO2. Cette carboxyhémoglobine délétère pour l’organisme humain ne pourra être complètement éliminée qu’au bout de 48 à 72 heures sans respirer à nouveau du CO2. Les appareils d’imagerie thermiques médicaux nous ont montré il y a déjà plus de 30 ans qu’au bout de vingt minutes de respiration de CO2, le sang ne circulaient plus dans les extrémités du corps et certaines parties du cerveau. (Source : Comprendre la respiration Université du Louvain)

Alors imaginez les dégâts du port du masque au bout de 7 ou 8 heures ou plus par jour…

Porter un masque c’est rejeter à l’intérieur de celui-ci une très grande quantité de bactéries qui vont enclencher un processus de culture de germes et en les respirant vont augmenter la charge virale et bactérienne de la personne qui le porte car son immunité sera affaiblie par manque d’oxygène et d’ions négatifs. Il n’y a pas besoin d’étude pour confirmer cela tellement cela est logique. C’est juste du bon sens et c’est incontestable parce que les scientifiques utilisent ce principe de culture de germes pour montrer l’évolution des virus et bactéries. Ces connaissances sont présentées régulièrement depuis des dizaines d’années dans quantité de reportages ou d’informations télévisés ou d’émissions sur la santé que tout le monde connaît, réalisées dans les collèges, lycées et facultés en cours de biologie, de science naturelle ou de SVT. Tout le monde connaît le principe du développement bactérien et d’une infection sur une plaie, et bien c’est le même.
Il n’y a jamais eu aucune justification d’un état d’urgence sanitaire puisque le rapport officiel de l’ATIH (Agence Technique d’Information sur l’Hospitalisation) montre qu’il n’y a jamais eu de pandémie ni d’épidémie en 2020. Les hospitalisations COVID ont représenté 2 % en 2020 ! Soit l’équivalent d’une grippe !
Le port du masque tout comme toutes les mesures misent en place depuis le début de cette fausse pandémie ans n’ont rien à voir avec la préservation de la santé. Pour preuves, le déversement toujours plus conséquents de pesticides dans la terre constituant juridiquement un crime contre l’humanité continue. Le récent rapport de l’ANSM qui expliquent que, tout en étant en situation certaine de sous déclaration de cas, le nombre d’effets secondaires suite aux injections ARN messager montre 110 000 cas dont 24 % très graves alors que le nombre de cas annuel d’effets secondaires tout médicament confondu n’est que de 44 000 chaque année. Et ces produits expérimentaux manifestement toxiques sous AMM conditionnelle (Autorisation de Mise sur le Marché) continuent incroyablement à être injectés en enrichissant de façon colossale les lobbies pharmaceutiques avec l’argent public.
Sans précédent dans l’histoire de France, le président de la république en personne a tenu des propos en janvier 2022 d’incitation à la haine, à la discrimination et à la ségrégation envers des citoyens qui refuseraient de se faire injecter.
La loi sur les Pass sanitaire et vaccinal sont caducs car en infraction avec 28 textes de lois, codes, conventions, traités, constitution français et internationaux sans tenir compte notamment de la déclaration universelle des droits de l’Homme, de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, de la constitution française, du code de Nuremberg, Convention d’Oviedo de 1997 article 5, de l’arrêt SALVETTI de 2002 garanti par l’article 8 de la CEDH, de la résolution 2361 du conseil de l’Europe.
Alors que le président et ces ministres reconnaissent que ces injections ne protègent pas de la maladie et qu’elles n’empêchent pas la transmission, le comble du comble de l’absurdité et malheureusement de la malveillance qui est qualifiable de crime de haute trahison et de crime contre l’humanité sans aucune équivoque.

La loi française

La loi actuelle sur le port du masque ne peut avoir d’existence légale car elle en contradiction avec les principes mêmes de la vie, de la santé, de l’immunité, et ne peut être appliquée puisqu’elle est en infraction avec 6 articles non abrogés du code pénal pour atteinte à la vie :

L’article 212-1 du code pénal qui puni de la réclusion à perpétuité l’atteinte volontaire à la vie qui « constitue également un crime contre l’humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l’un des actes ci-après commis en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique « .
L’article 211-1 du code pénal qui puni de la réclusion à perpétuité l’atteinte volontaire à la vie, atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique, soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe, qui constitue un crime contre l’humanité
L’article 421-1 du code pénal: « constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes : l’atteinte volontaire à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne ».
L’article 121-3 du code pénal : « Il n’y a point de crime ou de délit sans intention de le commettre.Toutefois, lorsque la loi le prévoit, il y a délit en cas de mise en danger délibérée de la personne d’autrui. Il y a également délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait. Dans le cas prévu par l’alinéa qui précède, les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer. Il n’y a point de contravention en cas de force majeure. »
L’article 223-1 du code pénal: Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
L’article 211-2 : La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d’effet.Si la provocation n’a pas été suivie d’effet, les faits sont punis de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende.

En conséquences, toute personne saine de corps et d’esprit ne peut accepter qu’une autre personne , même policier ou gendarme, l’oblige à porter atteinte à sa vie, ce serait un acte criminel, et suicidaire en cas d’acceptation.

Personne ni aucun tribunal ne peut condamner quelqu’un sain de corps et d’esprit parce qu’il a refusé une mesure qui portait factuellement atteinte à sa vie, à sa santé, à son immunité naturelle.

Pour toutes personnes qui se croiraient obligées sans discernement d’appliquer cette mesure d’atteinte à la vie et de contrevenir aux articles du code pénal cités ci-dessus, elles tomberaient sous le coup de ces articles.

La seule solution pour chacun de sortir de l’absurde, de la folie et de l’injustice c’est d’avoir non plus le courage mais l’instinct de survie et de porter plainte individuellement et massivement pour montrer que le peuple est plus fort car plus nombreux que les psychopathes oppresseurs et l’union fait la force.

Pour vous rassurer , sachez que dans toute l’histoire du monde, le mal a certes gagné des batailles mais il n’a jamais gagné la guerre car il y a toujours eu des justes qui se sont unis pour le bien et pour survivre et vaincre… Mais attention, chacun est responsable de ce qu’il fait, chacun doit garder à l’esprit que s’il ne fait rien ou ne rallie pas les forces du bien, il fera partie des « dommages collatéraux », et soit il ne survivra pas, soit il risque d’être enfermé pour complicité de crime contre l’humanité pour le restant de sa vie.