La revue GEO, nouveau membre du « nouvel ordre mondial » ?
Alors que depuis quelques années des personnages connus en tant que responsables d’entreprises riches à milliard, notamment américaines, font des vidéos ou des interviews en exposant leurs croyances qu’il y aurait trop de monde sur la planète et qu’il faudrait réduire la population à 500 millions de personnes sur 7 milliards, que ces mêmes entreprises polluent ou rendent malades la population depuis de trop logues années pour de l’argent et du pouvoir avec la complicité des gouvernements dans de nombreux pays, que des traités liberticides et destructeurs de la santé européens et mondiaux sont petits à petit mis en place ou en tous cas proposés par cette même caste, que certains gouvernements votent des lois pour favoriser l’euthanasie ou le suicide et favorisent la non identification homme ou femme, la revue GEO fait paraitre un article totalement improbable et absurde et parfaitement dans le sens des « inceptions » ou implants de l’esprit (ou messages subtiles placés dans l’esprit des gens) balancés à tout va pour permettre plus facilement des changements de comportements pour tendre vers une réduction rapide de la population.
Voici l’article, qui interpelle sérieusement, paru sur le site de geo.fr : https://www.geo.fr/sciences/la-cle-de-longevite-chez-lhomme-serait-la-castration-220486?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
L’article en PDF à télécharger ici
Un article d’autant plus délirant quand on connait les conséquences physiques, psychologiques et sociologiques graves d’une castration, et le taux de suicide des hommes qui passent à l’acte de la castration pour devenir eunuques, bien que conditionnés depuis leur plus jeune âge à considérer la castration comme indispensable, le statut d’eunuque étant pour eux le saint Graal…
Et l’évidente disparition progressive et contre nature de l’humanité si plus aucun homme ne peut féconder…
Et pour les personnes tentées par une voie qui pourrait détruire leur vie présente et affecter sérieusement les suivantes, écoutez attentivement le message d’une rare pertinence de ce monsieur :