Un grand merci à FRANCE 24 pour leur intégrité et la diffusion de ce reportage.
Alors que le paludisme fait 500 000 morts par an, principalement en Afrique, et que les parasites développent des résistances aux molécules anti-paludiques, les autorités sont toujours réticentes à recourir à l’Artemisia annua. Cette plante, l’armoise annuelle, est consommée depuis deux millénaires en Chine pour soigner le paludisme aussi appelé Malaria. Ni toxique, ni une drogue, elle est pourtant déconseillée par l’OMS et interdite dans certains pays, dont la France et la Belgique.
Il est aujourd’hui établi par de nombreux scientifiques et pays qu’elle soigne le Coronavirus.
France 24 vous propose une enquête exceptionnelle sur le débat entre partisans et adversaires de cette médecine naturelle, qui semble avant tout menacer les laboratoires pharmaceutiques.
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Cette plante peut sauver des millions de vies (et l’OMS n’en veut pas)
Auteure du livre « Artemisia : une plante pour éradiquer le paludisme », Lucile Cornet-Vernet raconte les combats de scientifiques et de citoyens venus des quatre coins du monde, pour faire admettre à l’OMS et à l’industrie pharmaceutique les vertus de l’artemisia annua, une plante qui peut terrasser la malaria. Au passage, elle évoque les impasses et les manquements d’une recherche scientifique soumise aux intérêts du monde de l’argent, et bien peu sensible à l’opensource et au « non-profit ».